Situé dans la commune de Ouidah (Bénin), le Centre de Développement Artistique et Culturel (CDAC) Elijah est un espace culturel à plusieurs vocations entre autres, rassembler les activités qui participent au développement culturel et social, notamment les activités artistiques, le soutien aux habitants du village, l’échange culturel, les formations, la permanence médicale et le soutien à différents projets.
Disposant de chambres simples, ventilées et sublimées par des décorations artistiques uniques, il héberge tous voyageurs et groupes de personnes en séjour au Bénin-Ouidah, avec l’ambition de rendre les coûts abordables et de faciliter la rencontre entre les différents voyageurs, et surtout la découverte de l’environnement local.
Nourri du « concept de tiers-lieu », qui se définit comme étant des espaces de soutien à des initiatives collectives qui participent au développement du lien social et à l’émancipation des individus, cet espace offre une atmosphère sereine et paisible, invitant à la contemplation. Les chaises en bois rustiques et les fleurs colorées créent une ambiance permanente. La lumière douce qui baigne l’espace la nuit met en valeur les détails délicats de la décoration, rendant le lieu unique.
En bordure de mer, CDAC Elijah offre l’air marin riche en ions négatifs, très bénéfique sur l’humeur et le bien-être, offrant également une source d’inspiration inépuisable pour les artistes et les créateurs.
Laissez-vous emporter par le rythme de la piste de danse de ce joyau culturel et artistique, puis retrouvez-vous dans un espace aéré où le sable fin de la mer invite à la création, aux échanges et à l’émerveillement lors des ateliers, des stages et des expositions.
Lors de leur visite à Ouidah, les voyageurs étrangers apprécient particulièrement ce lieu propice aux rencontres et aux échanges culturels.
Plus qu’un simple lieu, cet espace se révèle être un véritable catalyseur culturel, un point de rencontre où les arts s’expriment et les échanges se multiplient. Un joyau pour Ouidah, qui promet de rayonner bien au-delà de ses rivages.
Richard MAGLO
