Les progrès réalisés dans le domaine de la santé, notamment en ce qui concerne la mortalité infantile, sont impressionnants. Entre 2010 et 2022, le taux de mortalité infantile a chuté de plus de 50%, atteignant désormais 58 décès pour 1 000 naissances vivantes. Cette réduction remarquable témoigne des efforts constants pour améliorer les conditions de vie et les services de santé destinés aux nouveau-nés.
La baisse du taux de mortalité infantile est une victoire importante dans de nombreuses régions, où des programmes de santé publique tels que le programme Woezou ont joué un rôle clé dans cette avancée. Woezou, qui vise à renforcer l’accès aux soins prénatals et postnatals, a permis de réduire les complications liées à la grossesse et de fournir un suivi de qualité aux mères et aux enfants.
Les investissements dans les infrastructures de santé, la formation des professionnels médicaux et la sensibilisation des populations ont également contribué à cette avancée notable. Les autorités sanitaires soulignent l’importance de maintenir et d’intensifier ces efforts pour assurer la pérennité de ces améliorations.
Ce progrès dans la santé infantile est un signe prometteur pour l’avenir. Il témoigne non seulement d’une amélioration des soins de santé, mais aussi d’un changement positif dans les conditions de vie des populations les plus vulnérables. Il reste encore des défis à relever, mais cette diminution de la mortalité infantile marque un tournant significatif dans le combat pour la santé publique.
Les experts insistent sur la nécessité de continuer à investir dans les soins de santé de qualité, l’éducation sanitaire et les programmes de prévention pour garantir la santé et le bien-être des enfants dans les années à venir.